La Cour de cassation a en ce sens jugé, par un arrêt du 11 février 2015, qu'« au moment où elle ordonne le renvoi de l'inculpé qui se trouvait en détention préventive sous surveillance électronique, la juridiction d'instruction ne peut que mettre fin à cette détention ou libérer l'inculpé sous conditions en application de l'article 35 de [la loi du 20 juillet 1990 relative à la détention préventive] » (Cass., 11 février 2015, Pas., 2015, n° 102).
Der Kassationshof hat durch einen Entscheid vom 11. Februar 2015 in diesem Sinne geurteilt, dass « das Untersuchungsgericht, wenn es die Verweisung eines Beschuldigten, der sich in Untersuchungshaft unter elektronischer Überwachung befand, anordnet, nicht anders handeln konnte, als diese Haft zu beenden oder den Beschuldigten unter Bedingungen freizulassen in Anwendung von Artikel 35 [des Gesetzes vom 20. Juli 1990 über die Untersuchungshaft] » (Kass., 11. Februar 2015, Arr. Cass., 2015, Nr. 102).