Selon l’avocat général, la clause de « standstill » interdit que des ressortissants turcs ayant fait usage, comme M. Dogan, de la liberté d’établissement dans le cadre de l’accord d’association soient soumis à de nouvelles mesures qui, à l’image de l’exigence linguistique en cause en l’espèce, ont pour objet ou pour effet de rendre plus difficile l’entrée sur le territoire de l’État membre au titre du regroupement familial de leur conjoint.
Nach Auffassung des Generalanwalts untersagt es die Stillhalteklausel, türkische Staatsangehörige, die wie Herr Dogan im Rahmen des Assoziierungsabkommens von der Niederlassungsfreiheit Gebrauch gemacht haben, neuen Maßnahmen zu unterwerfen, die wie das hier in Rede stehende Spracherfordernis bezwecken oder bewirken, dass ihren Ehegatten die Einreise in den betreffenden Mitgliedstaat zum Zweck des Ehegattennachzugs erschwert wird.