Ils critiquent avant tout, à cet égard, le fait que les membres du personnel concernés « sont soustraits à leur juge naturel », à savoir le commandant d'unité et le commandant de corps, et qu'il est dérogé aux compétences « normales » du conseil d'enquête, en ce que l'avis du conseil d'enquête n'est pas seulement contraignant pour le ministre en ce qui concerne l'énoncé des faits et l'éventuelle imputation de ceux-ci, comme dans la procédure « normale », mais l'est également, pour autant qu'il soit unanime, en ce qui concerne la qualification des faits.
Sie kritisieren dabei vor allem, dass die betroffenen Personalmitglieder « ihrem natürlichen Richter entzogen werden », d.h. dem Kommandanten der Einheit und dem Korpskommandanten, und dass von den « normalen » Zuständigkeiten des Untersuchungsrates abgewichen werde, indem der Minister nicht nur an das Gutachten des Untersuchungsrates gebunden sei, was die Darlegung des Sachverhalts und die eventuelle Beschuldigung wie im « normalen » Verfahren betreffe, sondern auch gebunden sei, was die Beschreibung des Sachverhalts betreffe, bei einem einheitlichen Gutachten des Untersuchungsrates.