En Grèce, les groupes traditionnellement les plus vulnérables sur le marché du travail sont les jeunes, les femmes, les handicapés, les travailleurs faiblement qualifiés, les migrants de retour et les travailleurs migrants, les anciens détenus et les délinquants mineurs, les gitans et les Pomaks, ainsi que les personnes dépendantes, qui sont le plus touchés par le chômage et vivent de manière beaucoup plus intense les discriminations et la marginalisation.
Die traditionell „empfindlicheren" Gruppen auf dem griechischen Arbeitsmarkt junge Menschen, Frauen, Behinderte, Heimkehrer und Einwanderer, entlassene Strafgefangene und jugendliche Straftäter, Zigeuner und Pomaken sowie aus Anstalten entlassene Personen werden eher arbeitslos und sind stark von Diskriminierung und Ausgrenzung bedroht.