Sur le premier point, Mme Beckton a admis qu’il était « préoccupant que la loi puisse avoir des répercussion
s imprévues sur les droits ancestraux et issus de traités, vu que les parlementaires ne disposent d'aucun processus leur permettant d'évaluer avec précision l'impact de cette loi sur ces droits ». À propos du deuxième, Charles Pryce, avocat-conseil, Droit des Autochtones et politiques stratégiques, au ministère de la Justice, a souligné que « à l’étape où nous en sommes de l’évoluti
on du droit, [.] la portée des droits autochton
...[+++]es, et même des droits issus de traités, et particulièrement des droits issus de traités historiques, reste à élucider.
On the first point, Ms. Beckton acknowledged that there is concern about “the potential for legislation to have unanticipated impacts on Aboriginal and treaty rights because there is no process for parliamentarians to assess specifically how legislation may affect these rights”.[72] On the second, Charles Pryce, Senior Counsel in the Department of Justice’s Aboriginal Law and Strategic Policy Directorate, underscored the point that “at this stage in the development of law, . the scope of Aboriginal rights, and even treaty rights, particularly historical treaty rights, is unclear.