L'emploi intensif d'armes à sous-munitions durant les 72 dernières heures du conflit entre Israël et le Hezbollah dans le sud du Liban, en 2006, a amené la Norvège à lancer le processus d'Oslo au début de 2007, avec le solide appui de l'Autriche, de l'Irlande, de la Nouvelle-Zélande et du Saint-Siège. Ce processus a été mené en dehors du cadre habituellement appliqué aux discussions liées à la Convention sur certaines armes classiques tout comme le Canada l'avait fait une décennie plus tôt à l'égard des mines antipersonnel.
It was the extensive use of cluster munitions during the last 72 hours of the war between Israel and Hezbollah in Southern Lebanon in 2006 that precipitated the Oslo process initiated by Norway with strong support from Austria, Ireland, New Zealand, Mexico and the Holy See in early 2007, a process that was taken outside the traditional framework for conventional arms discussions, the Convention on Certain Conventional Weapons, just as Canada had done a decade earlier with respect to anti-personnel land mines.