L'hon. Sheila Copps (vice-première ministre et ministre du Patrimoine canadien, Lib.): Monsieur le Président, ce qui est dommage dans le cas du Parti réformiste et ce qui explique probablement pourquoi leur cote de popularité a glissé sous la barre des 10 p. 100 dans les sondages, c'est que, lorsque le gouvernement propose des initiatives de création d'emplois, les réformistes ne trouvent qu'à critiquer.
Hon. Sheila Copps (Deputy Prime Minister and Minister of Canadian Heritage, Lib.): Mr. Speaker, the sad thing about the Reform Party and probably the reason it is at single digits in the polls is that when the government comes forward with jobs initiatives, all it gets from the Reform Party is criticism.