C'est donc en vue de « restreindre les frais de la procédure [.] surtout pour les petits paysans et l'agriculteur pauvre, qui cultivent quelques lopins et n'ont à demander que des sommes minimes, bien que toujours importantes pour eux » que ces dispositions simplifient la procédure devant le juge de paix « autant qu'il est possible », qu'elles l'accélèrent « en fixant de nouveaux délais » et qu'elles empêchent le défendeur « de faire traîner le procès au moyen d'une défense échelonnée » (ibid., p. 23).
Um « die Kosten des Verfahrens zu begrenzen [.], vor allem für die kleinen Bauern und armen Landwirte, die nur kleine Geländeparzellen anbauen und nur geringe Beträge zu fordern haben, die für sie jedoch wichtig sind », vereinfachen diese Bestimmungen das Verfahren vor dem Friedensrichter also « so weit wie möglich », beschleunigen sie es, « indem sie neue Fristen festlegen », und hindern sie die Beklagten daran, « das Gerichtsverfahren zu verzögern, indem sie die Verteidigung verschleppen » (ebenda, S. 23).