Par ailleurs, la présidence admettra-t-elle que les États membres ont le devoir de condamner une telle discrimination parce qu’ils sont parties à la directive-cadre sur l’emploi qui interdit les discriminations, notamment celles basées sur l’orientation sexuelle, directive qui doit avoir été transposée d’ici 2003 ?
Teilt der Ratsvorsitz ferner die Auffassung, dass die Mitgliedstaaten verpflichtet sind, eine solche Diskriminierung zu verurteilen, weil sie die Beschäftigungsrahmenrichtlinie unterzeichnet haben, die bis 2003 umgesetzt werden muss und die besagt, dass keinerlei Diskriminierung, auch nicht aus Gründen der sexuellen Orientierung, erfolgen darf?