En dépit d'un vaste processus de transition et de réforme, souvent lourd de conséquences pour certains groupes de population, comme c'est aussi le cas dans d'autres pays d'Europe centrale et orientale, la Hongrie a rejeté dès le premier tour des élections la tentation des forces extrêmistes, xénophobes, anti-européennes et antidémocratiques.
Trotz des tiefgreifenden Umgestaltungs- und Reformprozesses, der sich - wie auch in anderen Ländern Mittel- und Osteuropas - für Teile der Bevölkerung oft schwierig gestaltet, hat Ungarn schon in der ersten Wahlrunde den extremistischen, ausländerfeindlichen, antieuropäischen und antidemokratischen Kräften eine Absage erteilt.