En réalité, on s'aperçoit que, par exemple, dans le secteur de la construction du bâtiment, le taux salarial minimum payé par, disons, une entreprise française à ses travailleurs est de loin plus élevé -de près de 40%, voire plus pour le personnel d'une catégorie professionnelle supérieure- au SMIC (Salaire minimum interprofessionnel de croissance).
In der Praxis ergibt sich beispielsweise, dass franzoesische Unternehmen im Baugewerbe, um nur diese zu nennen, Mindestlohnsaetze zahlen, die den in Frankreich gesetzlich garantierten Mindestlohn (SMIC) bei weitem uebersteigen, und zwar um annaehernd 40 % und mitunter noch mehr fuer die Beschaeftigten der hoeheren Berufskategorien.