En effet, l'accord d'Helsinki a engendré en faveur des banques françaises un profit financier spécifique, car elles étaient d'ores et déjà, en vertu de l'accord "Package Deal" de 1980 régissant le système Eurocheque, rémunérées par une commission (initialement de 1,25 % maximum portée ensuite à 1,6 % maximum du montant de l'eurochèque), versée par la banque de l'émetteur de l'eurochèque pour couvrir leurs frais administratifs et leur charge de trésorerie.
So ergibt sich aus der Vereinbarung von Helsinki fuer die franzoesischen Banken ein zusaetzlicher finanzieller Nutzen, da sie bereits aufgrund des "Package Deal"-Abkommens von 1980 ueber das Eurocheque-System eine Kommission erhalten (die urspruenglich auf hoechstens 1,25% festgesetzt und spaeter auf hoechstens 1,6% des Eurocheque-Betrags erhoeht wurde), die von der Bank des Ausstellers des Eurocheques gezahlt wurde, um die Verwaltungskosten und Unkosten der franzoesischen Banken zu decken.