Compte tenu de ces éléments, il apparaît clairement que l'idé
e d'un traité sur l'Arctique, prenant pour modèle le traité pour le continent de l'Antarctique – il s'agit dans ce dernier cas de terres et non de mer –, qui est inhabité et n'est réclamé par personne, contrairement à l'Arctique qui est peuplé et contrôlé par des États dans l'Arctique, non seulement n'est pas mise en avant par les peuples et les États de la région concernée, mais aussi que cette idée ne saurait constituer un moyen approprié permettant de faire face aux défis
...[+++] que l'Arctique doit relever.
Aufgrund dieser Sachlage wird deutlich, dass die Idee eines Arktisvertrags in Anlehnung an den Antarktisvertrag, der nicht Meer, sondern Land betrifft, das unbewohnt ist und für das keine Besitzansprüche geltend gemacht werden, im Gegensatz zur Arktis, die bewohnt und staatlich kontrolliert wird, von den Völkern und Staaten in der Arktis nicht mitgetragen wird, aber auch ungeeignet wäre, um mit den Herausforderungen der Arktis fertig zu werden.