A. considérant que plusieurs informations émanant d'organisations indépendantes de défense des droits de l'homme dénoncent la pratique systématique de la torture ainsi que de nombreux cas de disparitions et d'exécutions extrajudiciaires au Cameroun, dont serait responsable le Commandement opérationnel créé en février 2000 en vue de combattre le grand banditisme dans la province du Littoral,
A. in der Erwägung, dass in mehreren Informationen unabhängiger Menschenrechtsorganisationen systematische Folterungen sowie zahlreiche Fälle von verschwundenen Personen und Hinrichtungen ohne Gerichtsverfahren in Kamerun angeprangert werden, für die das Operationskommando verantwortlich sein soll, das im Februar 2000 zur Bekämpfung des organisierten Bandentums in der Küstenprovinz eingesetzt wurde,