Par conséquent, si la migration des arbres ne suit pas le taux de réchauffement, nous pourrions éventuellement perdre des espèces, notamment les espèces à croissance lente de fin de succession végétale, celles‑là même qui intéresse l’exploitation forestière et nous retrouver avec des essences moins « nobles » et des forêts moins vigoureuses.
Therefore, if tree migration does not keep up with the rate of warming, we could potentially lose species – notably the slower, late‑successional species that are often of interest to the forest industry – and we might end up with weedy and less vigorous forests.