Ensuite parce que les usagers de cannabis sont plus souvent des personnes socialement intégrées que les usagers de drogues dures, leur permettant de compter sur leurs réseaux naturels d’entraide. Troisième raison selon nous qui expliquerait que la majorité des usagers de cannabis peuvent se sortir d’une trajectoire de dépendance : l’usage n’est pas associé à la « toxicomanie », à la déchéance, dans les représentations sociales et dans l’imaginaire collectif, comme peut l’être l’usage d’héroïne par exemple.
The third reason, in our view, why most cannabis users can avoid the trajectory of dependency is the fact that its use is not associated with “degenerate addiction” in the view of society or in the popular imagination, unlike the use of heroin, for example.