Aux yeux de l’UE, le respect de "l’État de droit" est synonyme du respect de la dictature des monopoles, avec pour corollaire l’accord de Schengen, une érosion constante des droits et des libertés personnelles, l’UEM, le travail à temps partiel et à durée déterminée et les programmes d’austérité menés au détriment de la population, dans le seul souci de préserver les profits des grandes entreprises.
For the ΕU, respect for the 'rule of law' is respect for the dictatorship of the monopolies, with the Schengen Agreement, fewer and fewer rights and personal freedoms, EMU, part-time and temporary work and anti-grass roots austerity programmes, in order to safeguard big business's profits.