Cependant, les données utilisées pour déterminer tant la baisse horaire de la surviabilité que le nombre de gens qui auraient peut-être survécu étaient très filtrées et les conclusions ont été tirées de « déclarations de témoins et de preuves empiriques », sans que soient présentées les données brutes, car « il n'y avait pas assez de données dans le texte des rapports de mission pour permettre une évaluation correcte de chaque cas au sens des conséquences de la réaction » [TRADUCTION LIBRE].
However, the data used to determine both the hourly decrease in survivability and also the number of people who might have survived was highly filtered and conclusions were drawn based on “witness testimony and anecdotal evidence“ with no raw data presented as “there was insufficient data within the text of the mission reports to properly assess each case for reaction consequence”.