La question que je vous pose, professeure Weinrib, concerne le fait que la cause «personne» semble être interprétée par d'aucuns, dont vous, comme signifiant que la Constitution est un arbre vivant, n'est pas statique, gelée dans le temps, et qu'avec des connaissances nouvelles, on peut prendre les mots de la Constitution, tels que «mariage» et «personne» et en élargir le sens à volonté, selon nos conceptions propres.
My question to you, Professor Weinrib, is that the persons case appears to be argued by some, yourself included, that the Constitution is the living tree, that it's not static, not frozen in time, and that with new understandings we can take constitutional words, such as “marriage” and such as “persons”, and maybe expand them as we see fit, if you will, according to our own lights.