La réponse m’a toutefois été donnée lors des débats en commission, à la suite desquels je me suis posé deux questions - populistes, j’en conviens. Premièrement, la Commission est-elle prête à accepter un plus grand risque de sécurité pour les personnes qui utilisent les sièges "bon marché" disposés latéralement dans les autobus destinés aux transports urbain et régional - qu’elle veut autoriser - que pour les personnes qui utilisent ce même type de sièges dans les autocars de luxe?
Deuxièmement et à l’inverse, sa demande d’interdire les
confortables coins salons dans les ...[+++]autocars de luxe n’est-elle pas fondée sur la jalousie et la rancune qu’elle porte envers ceux qui peuvent se permettre de voyager dans des véhicules considérés luxueux?
The answer, though, was provided by the discussion in the Committee, in the aftermath of which two – admittedly populist – questions forced themselves into my mind: firstly, is the Commission prepared to expose people in the ‘cheap’ side-facing seats in buses in urban and interurban traffic – which it wants to permit – to a greater safety risk than the people who use similar seats in luxury coaches, or, secondly and contrariwise, is its call for a ban on cosy corner seats in luxury coaches founded on envy and ill-will towards those who can afford to travel on what are regarded as luxury vehicles.