A l’époque de l’apartheid, faute d’héroïne, la drogue dure à l’origine de la grande majorité des décès par surdose parmi la population blanche était le Wellconal, un opiacé de synthèse (le chlorhydrate de dipipanone) obtenu auprès de pharmaciens complices au moyen d’ordonnances de complaisance.
Under apartheid, for lack of heroin, the hard drug that caused the vast majority of overdose deaths in the white population was Wellconal, a synthetic opiate (dipipanone chlorhydrate) obtained from criminally-involved pharmacists through false prescriptions.