Or, ces bénéficiaires du legs soviétique ont fait beaucoup de bruit depuis dix ans autour de certaines questions comme encourager la Russie à former son propre « pôle d’attraction », renouer les relations avec d’anciens alliés tels que l’Iraq et Cuba, et, dernièrement, s’opposer à la présence militaire américaine en Géorgie et en Asie centrale.
These beneficiaries of the Soviet legacy have been quite vocal over the past 10 years in raising various issues such as encouraging that Russia form its own “pole of attraction”; embracing relations with old friends such as Iraq or Cuba and, most recently, objecting to American military presence in Georgia and Central Asia.