Faut-il comprendre de sa déclaration, que le gouvernement, dans un brusque changement de cap, entend désormais faire passer la «business» avant tout, y compris en fermant délibérément les yeux sur la violation systématique des droits de la personne dans les pays dictatoriaux, dans le seul but de développer les échanges commerciaux avec ce genre de pays?
Are we to understand from the minister's statement that the government had a sudden change of heart and decided that from now on business comes first, even if it means willingly ignoring systematic human rights abuse in countries under dictatorial rule, just to establish trade relations with these countries?