Dans le traité d’adhésion de 2003, pour apaiser les inquiétudes suscitées par les éventuelles conséquences négatives d’une pleine application de la législation de l’Union en matière de libre circulation des travailleurs sur les marchés de l'emploi et la situation sociale des quinze États membres de l’Union d’alors, il avait été convenu d’une période de transition de sept ans durant laquelle les États pouvaient introduire progressivement la libre circulation des travailleurs.
As part of the 2003 Accession Treaty and to alleviate concerns about the negative impact that the full application of EU law on free movement of workers could have on the labour markets and the social situation of the EU's then 15 Member States, a seven-year transitional period was agreed during which countries could gradually introduce the free movement of workers.