«Est-ce radical», demande le journal, «de proposer que l
'unique programme d'action positive fondé sur des quotas,» c'est-à-dire le programme d'équité en matière d'emploi, «qui pratique effectivement la discrimination à l'égard des hommes de race blanche, soit aboli en même temps que l'exigence de trai
ter les employés en fonction de la race, du sexe et de la présence d'un handicap?» Non, répond le Globe and Mail, ce n'est pas être radical, c'est tout si
...[+++]mplement faire preuve de bon sens.
The paper asked: ``Is it radical to propose that Canada's only quota base affirmative action program'', meaning the employment equity program, ``which effectively requires discrimination in employment against white males be dropped along with the requirement to track employees by race, sex and disability?'' No, the Globe and Mail says that is not radical at all, that it only makes common sense.