Sur la base de la législation existante et des propositions de l’UE, le capital armateur exploite le travail tant de gens de mers provenant de pays tiers que de ceux issus des pays membres de l’UE où les salaires et les prestations sociales sont moins élevés, remettant ainsi en cause des acquis fondamentaux des travailleurs (conventions collectives de travail, journées de sept heures, travail continu et période de repos pendant l’année, etc.).
The shipping industry uses current legislation and the EU's proposals to exploit seafaring labour from third countries and seafarers from within the European Union by paying lower wages and offering lower social benefits, thereby undermining the fundamental rights of workers (collective agreements, 7-hour day, contracts of employment, time off during the year etc.).