Les auteurs du rapport disent par exemple que les dépendances sont très fréquentes et qu'ils n'ont pas de médecins spécialistes de la toxicomanie, que des cliniciens n'ont pas accès à une supervision clinique officielle, que, trop souvent, les diagnostics psychiatriques cliniques, les traitements recommandés et les avis sont rejetés par les médecins militaires.
They say, for example, that “addictions are rampant and we lack medical addictions specialists”, that “clinicians do not have access to any formal clinical supervision”, that “too often psychiatric clinical diagnoses and recommended treatments and opinions are dismissed by the medical officers”.