Graham Scott, ancien sous-ministre de la Santé de l’Ontario, a exprimé une opinion similaire, faisant remarquer que « nous sommes confrontés à un monstre très bien financé, bien organisé et puissant caché sous les traits des organisations qui représentent les professionnels de la santé »[111]. Toujours selon ses dire, il faut « la menace de dispositions législatives forcées » [112] pour amener les parties à la table des négociations afin de réviser la réglementation qui régit actuellement les champs de pratique.
Graham Scott, former Deputy Minister of Health in Ontario, expressed a similar view, pointing out that “we have a very well-funded, well-organized, and powerful monster in the form of each one of these health professional organizations,”[111] and that “the eventual threatened hammer of forced legislation”[112] was required to bring the parties to the table in order to revise the existing regulation of scopes of practice.