On parlera alors de conduites à risque, variables selon les substances certes, qui ne dépendent pas que des propriétés intrinsèques de la substance, mais relèvent, dans une approche globale, de la relation entre la substance et sa place dans la société (intégrée ou non), des caractéristiques de l’individu, et de la société dans laquelle la consommation se produit.[29] On comprendra évidemment par là que nous distinguons, pour le cannabis comm
e on le fait pour l’alcool, entre usage, usage à ris
...[+++]que et usage excessif (ou abus)[30], et que nous refusons l’équivalence souvent faite entre usage et abus où toute forme d’usage est déjà un abus.
By that we mean at-risk behaviour, which varies with the substance of course, and which does not depend solely on the intrinsic properties of the substance, but stems, in an overall approach, from the relationship between the substance and its place in society (integrated or not) from the individual’s characteristics, and from the society in which the substance is used.[29] Of course by that it should be clear that we consider as separate, for cannabis as for alcohol, use, at-risk use and heavy use (or abuse)[30], and that we reject the equivalency often made between use and abuse where any form of use is perceived as abuse.