La loi en cause vise « à réparer, dans la mesure du possible, les dommages causés aux victimes » civiles de la seconde guerre mondiale sur le fondement de « la solidarité, liant entre eux tous les citoyens d'une même communauté nationale [...] ces interventions [étant] donc nécessairement limitées par la situation économique et financière du pays » (Doc. parl., Chambre, 1950-1951, n° 411, pp. 1 et 2).
Das fragliche Gesetz bezweckt, « nach Möglichkeit die Schäden wiedergutzumachen, die [zivilen] Opfern » des Zweiten Weltkriegs verursacht wurden, auf der Grundlage der « Solidarität zwischen allen Bürgern derselben nationalen Gemeinschaft », wobei diese « Leistungen [...] also notwendigerweise durch die wirtschaftliche und finanzielle Lage des Landes begrenzt sind » (Parl. Dok., Kammer, 1950-1951, Nr. 411, SS. 1 und 2).