3. s'inquiète fortement de constater que les progrès ont été lents au cours des dix dernières années et que l'écart de rémunération entre les hommes et les femmes est resté élevé ces dernières années, les femmes au sein de l'UE-27 ayant perçu, en 2009, en
moyenne un salaire horaire 17,5 % moins élevé que celui des
hommes pour un même rendement (voire jusqu'à 30 % moins élevé dans le secteur privé, pour les mêmes qualifications et le même rendement), en dépit du principe juridiquement contraignant d'égalité des rémunérations pour un tr
...[+++]avail de même valeur; déplore l'écart de rémunération particulièrement élevé dans certains États membres, notamment entre les hommes et les femmes hautement qualifiés; souligne que les femmes font partie des catégories les plus touchées par la précarité et les conséquences sociales de la crise; observe que, selon le rapport de l'OIT intitulé «Global Employment Trends 2012 - Preventing a deeper jobs crisis», la part des femmes dans l'emploi vulnérable excède celle des hommes: 50,5 % contre 48,2 ; 3. ist sehr besorgt darüber, dass im letzten Jahrzehnt nur sehr langsame Fortschritte gemacht wurden, dass das Lohngefälle zwischen Männern und Frauen in den letzten Jahren weiterhin stark ausgeprägt blieb, dass in 2009 der Stundenlohn weiblicher Arbeitnehmer in den 27 EU-Staaten trotz des rechtlich verbindlichen Grundsatzes
des gleichen Entgelts für gleichwertige Arbeit im Durchschnitt 17,5 % niedriger war als der Stundenlohn der Männer für die gleiche Arbeit (bis zu 30% im privaten Sektor, trotz gleicher Qualifikation und Leistung); ist besorgt über das sehr große Lohngefälle zwischen hoch qualifizierten Frauen und Männern in einigen
...[+++]Mitgliedstaaten; betont, dass Frauen zu den Gesellschaftsgruppen gehören, die am stärksten von Arbeitsplatzunsicherheit und den sozialen Folgen der Krise betroffen sind; weist darauf hin, dass sich nach dem Bericht der Internationalen Arbeitsorganisation mit dem Titel „Global Employment Trends 2012: Preventing a deeper jobs crisis“ mehr Frauen als Männer in prekären Beschäftigungsverhältnissen befinden (50,5% gegenüber 48,2 %);