Il est alors jugé « plus logique de réduire les indemnités destinées en partie à compenser les pertes de salaire et en partie à réparer les dommages corporels que de toucher aux pensions » et « préférable de laisser intactes les pensions pour lesquelles les bénéficiaires ont versé des cotisations personnelles » (Doc. parl., Chambre, 1980-1981, n° 838/37, p. 10).
Es wird also der Standpunkt vertreten, dass « es logischer ist, die Entschädigungen herabzusetzen, die teilweise als Lohnausgleich und teilweise als Entschädigung für Körperschäden dienen, als die Pensionen zu verringern », und « vorzuziehen ist, nicht die Pensionen anzutasten, für die die Empfänger persönliche Beiträge eingezahlt haben » (Parl. Dok., Kammer, 1980-1981, Nr. 838/37, S. 10).