Dans l'arrêt Dayanan, elle a en outre jugé que, bien que l'accusé ait gardé le silence au cours de la garde à vue, la restriction systématique à l'accès à un avocat suffisait à conclure à un manquement aux exigences de l'article 6 de la Convention (CEDH, 13 octobre 2009, Dayanan c. Turquie, § 33).
Im Dayanan-Urteil hat er ausserdem entschieden, dass, obwohl der Angeklagte während des Polizeigewahrsams keine Aussage gemacht hat, die systematische Einschränkung des Zugangs zu einem Rechtsanwalt ausreichte, um auf eine Nichteinhaltung der Erfordernisse von Artikel 6 der Konvention zu schliessen (EuGHMR, 13. Oktober 2009, Dayanan gegen Türkei, § 33).