Par ailleurs, la Cour a précisé, dans l'affaire Luedicke, Belkacem et Koc contre République fédérale d'Allemagne (1978), que ce droit à l'interprétation et à la traduction s'étend à "tous les aspects de la procédure engagée contre [l'accusé[ (...) qu'il [lui[ faut comprendre pour bénéficier d'un procès [équitable[" et peut donc viser, par exemple, une traduction des motifs de l'arrestation.
Der Gerichtshof befand ferner im Fall von Luedicke, Balkacem und Koc gegen die Bundesrepublik Deutschland (1978), daß dieses Recht auf Dolmetschen/Übersetzen alle Aspekte des gegen ihn eingeleiteten Verfahrens betrifft, .die verstanden werden müssen, damit ein (gerechter) Prozeß gewährleistet ist, d.h. eine Übersetzung der Gründe, weshalb der Beklagte inhaftiert wurde.