Ce ne sont pas les trois jours de deuil national décrétés par le Premier ministre, Costas Caramanlis, qui masqueront l'incurie totale de l'État à protéger ses habitants et à venir au secours des villageois encerclés par les flammes, dans un pays où les étés caniculaires et les risques d'incendie sont monnaie courante.
Die von Premierminister Kostas Karamanlis verfügte dreitägige Nationaltrauer kann nicht über die völlige Unfähigkeit des Staates hinwegtäuschen, seine Bewohner zu schützen und den von den Flammen eingeschlossenen Dorfbewohnern zu Hilfe zu kommen, und das in einem Land, wo glutheiße Sommer und Brandgefahren an der Tagesordnung sind.