Cela s'explique par les aléas inhérents aux objectifs de déficit, par des opérations "au-dessous de la ligne" (non déclarées), qui continuent d'alourdir la dette et d'entraîner des déficits sur base de caisse systématiquement supérieurs aux déficits au sens de Maastricht, et par le caractère relativement ambitieux du programme de privatisation.
Dies steht im Zusammenhang mit der Gefährdung der Defizitziele, dem Fortbestehen unaufgedeckter außerbudgetärer Transaktionen, die zu beständig höheren Kassendefiziten im Vergleich zu den Defiziten nach der Maastricht-Definition führen, und dem relativ ehrgeizigen Privatisierungsprogramm.