Sur la base de la mesure attaquée, les juges et substituts de complément ne peuvent pas non plus prétendre à la prime linguistique, parce que ces magistrats, en raison de la spécificité de leur fonction, reçoivent déjà une prime égale à la prime linguistique pour la connaissance écrite purement passive de l'autre langue (Doc. parl., Chambre, 2002-2003, DOC 50-2310/003, p. 4).
Gemäss der angefochtenen Massnahme können die Komplementärrichter und -staatsanwälte ebenfalls keinen Anspruch auf die Sprachprämie erheben, da diese Magistrate aufgrund der Spezifität ihres Amtes bereits eine Prämie in gleicher Höhe wie die Sprachprämie erhalten für die einfache passive schriftliche Kenntnis der anderen Sprache (Parl. Dok., Kammer, 2002-2003, DOC 50-2310/003, S. 4).