La circonstance que l'arrêté royal du 27 mars 1998 - fondé sur la considération que « les services de prévention et de protection ne peuvent fonctionner que dans la mesure où les employeurs abordent les problèmes relatifs au bien-être des travailleurs selon une approche de système » - reproduise la définition de la prévention citée en B
.19 et décrive le « système dynamique de gestion des risques » - dont l'objectif est de « permettre la planification de la prévention et la mise en oeuvre de la politique relative au bien-être des travailleurs lors de l'exécution de leur travail » (articles 2, 5°, et 3 à 14) - n'est pas de nature à remettr
...[+++]e en cause ce constat.Der Umstand, dass der königliche Erlass vom 27. März 1998 - der auf der Uberlegung beruht, dass « die Dienste für Gefahrenverhüt
ung und Schutz ihre Funktion nur erfüllen können, insofern die Arbeitgeber die Probleme bezüglich des Wohlbefindens der Arbeitnehmer nach einem System angehen » - die in B.19 zitierte Definition der Gefahrenverhütung
übernimmt und das « dynamische Risikoverwaltungssystem » beschreibt - das bezweckt, « die Planung der Gefahrenverhütung und die Ausführung der Politik des Wohlbefindens der Arbeitnehmer bei der A
...[+++]usführung ihrer Arbeit zu ermöglichen » (Artikel 2 Nr. 5 und 3 bis 14) -, kann diese Feststellung nicht in Frage stellen.