Dans le rapport de notre collègue M. Kreissl-Dörfler - remarquable, d'ailleurs, qu
ant au reste de son contenu - cette réponse ne ressort pas avec la fermeté indispensable, alors qu'apparaît encore une fois un symptôme préoccupant : la faiblesse, la fragilité des systèmes de contrôle vétérinaire de la Commission européenne, une faiblesse qui a été admise avec une grande honnêteté intellectuelle par le commissaire lui-même, ce qui revient à dire que, de
ce point de vue, la leçon infligée par la crise de l'ESB pendant la précédente légis
...[+++]lature n'a pas servi à grand chose.
In dem Bericht des Kollegen Kreissl-Dörfler – der sonst in jeder Hinsicht anerkennenswert ist – wird uns dazu keine endgültige Antwort gegeben, während einmal mehr ein Besorgnis erregendes Symptom erkennbar wird, nämlich die Schwäche, die Unzulänglichkeiten der tierärztlichen Kontrollsysteme der Europäischen Kommission, eine Schwäche, die auch der Kommissar mit großer intellektueller Redlichkeit zugegeben hat. Anders gesagt, die Lektion, die uns in der vergangenen Legislaturperiode durch die BSE-Krise erteilt wurde, hat in dieser Hinsicht nicht viel genützt.