En premier lieu, il importe de préciser que le choix des parties ne pourra porter que sur la juridiction et la loi d'un État membre, de la même façon que, plus généralement, la proposition ne peut, en vertu du principe de subsidiarité, obliger les autorités d'un État qui ne prévoit pas le divorce ou ne reconnaît pas le type de mariage en question à en prononcer la dissolution.
Vor allem ist festzulegen, dass die Wahl der Parteien nur den Gerichtsstand und das Recht eines Mitgliedstaats betreffen kann und das genereller gemäß dem Subsidiaritätsprinzip die Behörden eines Mitgliedstaats, der keine Scheidung vorsieht oder eine derartige Ehe nicht anerkennt, durch den Vorschlag nicht verpflichtet werden können, deren Auflösung auszusprechen.