Ce rapport constate que, si le gouvernement néerlandais est parvenu, au cours des dernières années, à réduire considérablement le nombre de demandes d'asile en pratiquant une politique dissuasive, celle-ci porte atteinte aux droits fondamentaux des réfugiés, en raison notamment de procédures accélérées, limitées à 48 heures ouvrables, d'un traitement inadéquat des enfants des réfugiés non accompagnés et des restrictions imposées aux demandeurs d'asile sur le plan matériel.
Nach diesem Bericht stellt die von der niederländischen Regierung verfolgte Abschreckungspolitik, mit der die Zahl der Asylanträge in den letzten Jahren erheblich verringert werden konnte - insbesondere durch beschleunigte Verfahren mit einer Dauer von maximal 48 Arbeitsstunden, eine unangemessene Behandlung ohne Begleitung reisender Kinder von Flüchtlingen und gegen die Asylbewerber verhängte Einschränkungen materieller Art - eine Verletzung der Grundrechte der Flüchtlinge dar.