En ce qui concerne la deuxième branche, le Conseil des ministres répond que, les entreprises pharmaceutiques ayant développé une politique systématique de ristournes au profit des institutions hospitalières, le législateur a, à bon droit, constaté, compte tenu notamment de l'arrêté royal du 2 septembre 1980, un surcoût pour l'Institut national d'assurances maladie-invalidité (INAMI), par rapport au prix réellement supporté par les hôpitaux et encaissé par les entreprises pharmaceutiques.
Was den zweiten Teil betrifft, antwortet der Ministerrat, dass der Gesetzgeber angesichts dessen, dass die pharmazeutischen Unternehmen eine systematische Politik von Nachlässen zugunsten der Krankenhäuser entwickelt hätten, mit gutem Recht, insbesondere unter Berücksichtigung des königlichen Erlasses vom 2. September 1980, Mehrkosten für das Landesinstitut für Kranken- und Invalidenversicherung (LIKIV) im Vergleich zu dem tatsächlich durch die Krankenhäuser gezahlten und von den pharmazeutischen Unternehmen eingenommenen Preis festgestellt habe.