La fusion était, en outre, subordonnée à la décision du conseil d'administration de chacune des deux institutions concernées qui ne pouvait être prise qu'à la « majorité qualifiée » (article 107, alinéa 1, du même décret) et, en cas de fusion impliquant l'Université de Liège, l'Université de Mons-Hainaut ou la Faculté universitaire des Sciences agronomiques de Gembloux, à l'autorisation du Gouvernement de la Communauté française (article 108 du même décret).
Die Fusion unterlag außerdem einem Beschluss des Verwaltungsrates einer jeden der beiden betreffenden Einrichtungen, der nur mit « qualifizierter Mehrheit » angenommen werden konnte (Artikel 107 Absatz 1 des Dekrets vom 31. März 2004), und im Fall einer Fusion unter Beteiligung der « Université de Liège », der « Université de Mons-Hainaut » oder der « Faculté universitaire des sciences agronomiques de Gembloux » unterlag er auch der Genehmigung durch die Regierung der Französischen Gemeinschaft (Artikel 108 desselben Dekrets).