Alors que le débat sur le changement climatique se développait suite à la convention-cadre des Nations unies sur le changement climatique, l’impact préjudiciable de ces gaz fluorés, dû à leur potentiel élevé de réchauffement global (GWP, pour «global warming potential»), était reconnu comme un responsable majeur de l’effet de serre (jusqu’à 5 %, ce pourcentage étant en augmentation).
Als die Debatte über den Klimawandel nach dem UN-Rahmenübereinkommen über Klimaänderungen an Bedeutung gewann, wurden die schädlichen Auswirkungen dieser fluorierten Gase aufgrund ihres globalen Treibhauspotenzials (GWP) als wesentlicher Mitverursacher des Treibhauseffekts ermittelt – 5 % mit steigender Tendenz.