Appelée à se prononcer dans le cadre d'une question préjudicielle, sur la question de savoir si la Directive, (et donc les conventions Espoo et Aarhus) étaient applicables à la décision d'autorisation de poursuite d'une exploitation, La Cour de Justice de l'Union Européenne a dit pour droit à plusieurs reprises (Voy. not. Arrêt du 17 mars 2011 affaire C-275/09 et l'Arrêt du 19 avril 2012, affaire C-121/11 ainsi que la note d'interprétation de la directive de la Commission européenne du 11 mai 2015) que :
Nachdem er im Rahmen einer Vorabentscheidungsfrage gebeten wurde, sich zu der Frage zu äußern, ob die Richtlinie (und somit die Übereinkommen von Espoo und Aarhus) auf die Entscheidung über die Genehmigung zur Weiterführung des Betriebs anwendbar war, hat der Gerichtshof der Europäischen Union mehrmals für Recht erkannt (siehe insbesondere Urteil vom 17. März 2011, Rechtssache C-275/09, und Urteil vom 19. April 2012, Rechtssache C-121/11, sowie Interpretationsvermerk zur Richtlinie der Europäischen Kommission vom 11. Mai 2015):