32. rappelle que, en vertu du règlement (CE) n° 2201/2003 , les enfants dont les parents sont séparés doivent pouvoir maintenir les relations avec chacun d'entre eux même s'ils vivent dans des États membres différents; souligne que, si l'instauration et la mise en œuvre des règles de fond sur les droits d'accès relèvent à l'heure actuelle de la compétence des États membres, ces derniers doivent respecter, lorsqu'ils exercent leurs pouvoirs, le droit de l'Union, notamment les dispositions du traité portant sur la liberté de l'ensemble des citoyens européens de voyager et de résider dans un autre État membre ainsi que la conservation des liens entre parents e
...[+++]t enfants, grands-parents et petits-enfants ou frères et sœurs; note aussi que les délais parfois longs et le nombre de procédures que doivent suivre les parents désirant retourner dans leur pays d'origine avec leurs enfants sont une entrave à la libre circulation des citoyens de l'Union européenne; demande à la Commission d'examiner les allégations de discrimination envers le conjoint non allemand dans les mariages mixtes portées contre les services d'aide sociale à l'enfance et à la jeunesse en Allemagne (Jugendämter ); 32. erinnert daran, dass in der Verordnung (EG) Nr. 2201/2003 der Grundsatz festgehalten wird, dass Kinder in der Lage sein sollten, ihre Beziehung zu beiden Elternteilen nach der Trennung derselben aufrechtzuerhalten, auch wenn diese in unterschiedlichen Mitgliedstaaten leben; weist darauf hin, dass die Einführung und Anwendung materieller Vorschriften betreffend die Zugangsrechte derzeit zwar in die Zuständigkeit
der Mitgliedstaaten fallen, dass aber die Mitgliedstaaten sich bei der Ausübung ihrer Befugnisse an das Unionsrecht halten müssen, und zwar insbesondere an die Vertragsbestimmungen betreffend die Freiheit aller Unionsbürger,
...[+++]in einen anderen Mitgliedstaat zu reisen und sich dort aufzuhalten , sowie betreffend die Aufrechterhaltung der Bindung zwischen Eltern und Kindern, Großeltern und Enkeln oder zwischen Geschwistern; fügt hinzu, dass die zuweilen langen Wartezeiten und die Anzahl der Verfahren, denen sich Eltern unterziehen müssen, die mit ihrem Kind bzw. ihren Kindern in ihr Herkunftsland zurückkehren wollen, ein Hemmnis für die Freizügigkeit der Unionsbürger darstellen; fordert die Kommission auf, die angebliche Diskriminierung von nichtdeutschen Ehegatten in Mischehen seitens des deutschen Jugendamts zu untersuchen;