En adoptant l'article 26, attaqué, de la loi du 28 avril 2010, le législateur a voulu que l'autorisation préalable s'appliquât aux transferts de matières, d'équipements et de données technologiques qui « ne sont pas repris dans les listes d'exportations nucléaires, mais qui peuvent bien être liées à un programme d'armement nucléaire dans le pays de destination », parce que « certains équipements qui ne figurent pas sur les listes de contrôle nucléaire, peuvent également être utilisés pour un programme nucléaire » (Doc. parl., Chambre, 2009-2010, DOC 52-2423/001 et 52-2424/001, p. 12).
Durch den angefochtenen Artikel 26 des Gesetzes vom 28. April 2010 wollte der Gesetzgeber die vorherige Erlaubnis ebenfalls auf Ubertragungen von Materialien, Anlagen und technologischen Informationen zur Anwendung bringen, die nicht « auf den nuklearen Ausfuhrlisten stehen, die jedoch mit einem Kernwaffenprogramm im Bestimmungsland in Verbindung gebracht werden können », weil « gewisse Güter, die nicht auf den nuklearen Kontrolllisten stehen, auch in einem Nuklearprogramm verwendet werden können » (Parl. Dok., Kammer, 2009-2010, DOC 52-2423/001 und 52-2424/001, S. 12).