Outre qu'elle transforme la commune de Marmara (l'une des plus anciennes de la région, mentionnée dans la Bulle d'or de l'empereur byzantin Andronic II Paléologue en 1318), en un véritable cloaque, l'exploitation de cette carrière contribue à détruire et à éroder progressivement une colline sur laquelle se dresse le monastère d'Aghia Paraskevi, qui remonte à 1778.
Diese Anlage hat nicht nur die Gemeinde Marmara (eine der ältesten Gemeinden der Region, die bereits 1318 in der Goldbulle des byzantinischen Kaisers Andronikos II. Palaiologos erwähnt wurde) in eine Mondlandschaft verwandelt, sondern führt außerdem zur Verwüstung und Einebnung des Hügels, auf dem sich das 1778 errichtete Kloster der Heiligen Paraskevi befindet.