B. considérant que les premiers témoignages de certains camionneurs semblent confirmer la responsabilité majeure de la firme qui avait recruté des chauffeurs routiers slovaques, bulgares, tchèques, employés clandestinement grâce à un simple visa touristique, sans contrôle horaire, et payés avec des salaires de misère,
B. in der Erwägung, dass erste Zeugenaussagen einzelner LKW-Fahrer die gravierende Verantwortung des Unternehmens offenbar bestätigen, das slowakische, bulgarische, tschechische Lastwagenfahrer illegal mit einem einfachen Touristenvisum ohne Arbeitszeitkontrolle und zu Hungerlöhnen eingestellt hat,