Dans l'analyse d'impact accompagnant la proposition de réglementation des marchés de gros de l'itinérance du 15 juin 2016, la Commission concluait qu'avec les tarifs de gros maximaux qu'elle proposait (0,04 EUR/minute pour les appels vocaux, 0,01 EUR/SMS, 8,50 EUR/Go de données), la grande majorité des opérateurs de réseau mobile n'auraient pas besoin de recourir à ce système de dérogation exceptionnel et temporaire.
In der Folgenabschätzung zu ihrem Vorschlag zur Reform des Roamingmarktes vom 15. Juni 2016 kam die Kommission zu dem Ergebnis, dass ihre damals vorgeschlagenen Obergrenzen für die Roamingvorleistungsentgelte (0,04 EUR/min für Anrufe, 0,01 EUR pro SMS und 8,50 EUR/GB) so gestaltet sind, dass die allermeisten Mobilfunkbetreiber diese befristeten Ausnahmeregelungen nicht anwenden müssten.